Âme marchombre

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ombre le jour,
ombre la nuit,
ombre gracieuse,
ombre invisible,
ombre inconnue,
mais présente partout.
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Souffle coupé
Douleur Intense
Comme un poignard enfoncé dans mon ame
Dans mon Coeur
Je tremble
Je pleure
Je veut crier
Mais le seul son qui sort de ma gorge
Est ton nom
Je tremble
Je pleure
Mon souffle est saccadé
Mon coeur, affolé
J'ai mal

Larmes ruisellantes
Mes jambes ne me portent plus
Tout force ma derserter

Je tremble
J'ai froid
J'ai mal

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sombres murs,
claire lumière,
larme de mort,
lame de vie,
pauvre ouvrier,
noble évadé,
croyant fidèle,
ange vivant,
solitude sanglante,
rire contagieux,
voeux de survie,
partage de joie.

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Sentiment Profond
Etrange Mélancolie
Qui s'est emparé de mon âme

Envie de courir
De pleurer
D'hurler
Mais le seul geste que mon corp me permet
Est de chuchoter ton nom

Ma poitrine se soulève
Comment mon coeur fait-il pour battre ?
Alors que tu n'es pas pret de moi ?

La petite étincelle a perdu son éclat,
ses petites ailes ne battent plus,
tout comme son coeur, vous aurait-elle répondu.

Je t'aime ...
J'aimerais que ça s'arrête...

Pour quelqu'un qui ce reconnaîtra ... :


Etendue dans l'herbes sauvages d'une colline ensoleillé
Yeux ouvert sur un monde de nuages
Yeux dans le vide , ne vois aucune image
Corps allongé , et par une brise subtile , balayé
J'ai laissée mon corps a terre
Pour laisser mon esprit s'évader dans les airs
Puis j'ai oublier le passé
Endormie ce qui est présent
J'ai érrée entre deux temps
j'ai continuée de monter
Paisible je me laisse emporté par la brise
Je sais , cette décision je l'ai prise
Je sais , c'est a toi que je vais l'offrir
Les portes , c'est a toi que je vais les l'ouvrir
Portes du passé
Que j'ai cadenasé
J'ai tout fait pour oublié
Ne plus jamais en parler
Mais la réalité ma frappée
Ma coupé le souffle par sa violence
Et ma forcé a regarder la vérité
Si je n'accepte son existence
Si je ne l'accepte le passé , je n'avancerai plus
Je resterai la , avec une illusion pour seule vu
Et c'est toi un soir ,
Lorsque la Nuit fût noir
Qui a trouvé la clé
La clé qui a décadenasé
Cette porte trop bien cachée
Ce passé qui m'as temps bléssée
Une simple question
La bonne , qui fit basculer l'illusion
La bonne question posée par la bonne personne que tu es
Je le savais , je l'ai toujours su
Mais ce n'est que quand tu l'as posé que l'évidence s'est montrée
J'ai compris , et j'ai senti ... ou vu
Le cadenas tombés
Dans un fracas assourdissant
Qui ma fait chancelait
Et fait tombé mon masque souriant
Alors je sais , je sais que c'est toi
Que c'est a toi que vais tout raconter
Je sais que tu m'écoutera
Je vais t'ouvrir les portes que j'avais condamné
Et en te racontant , revivre ces moment
Souffrir cette instant
Mais aussi refermer la plaie qui a saigner si longtemps
Et qui s'employer a me brûlée si ardemment
...
Toi qui d'une paroles a briser mon murs de protection
Toi qui as ramenée mon esprit a mon corps d'une simple question
Toi , l'Amie avec qui j'ai tant partagé
Je te montre aujourd'hui celle que j'étais
Mon passé
Trois années années oubliées



L'Amitié qui nous lie reste la seule clé valable
La seule qui me délivrera de ce mal



Merci a toi
D'être là pour moi

Debout, devant la vaste horizon il regarde

Autour de lui la nuit est noire, l'heure avancer l'empêche de voir à plus de cinq mètres en face de lui.
Il ne voit rien, mais il sent, il sent l'océan à ces pieds qui viennent se fracasser sur la montagne ou il se trouve.
Il sent la puissance de la nuit et entend leurs bruits. Il regarde l'horizon longtemps, depuis tellement de temps que l'on peut croire qu'il dort debout.
Enfin il bouge, il fait un pas.
Il se retrouve entre la limite du vide, là ou tout peut se décider, a la limite de la vie.
Aucune expression de s'affiche sur son visage, son visage affiche une expression neutre, sans aucune émotion. ses yeux son vide, il n'y a rien.
Un jour un homme ma dis « les yeux sont les fenêtres de l'âme ».
L'homme avance encore, il a un pied au-dessus du vide, il regarde en haut, sourie.
Sur son sourire t'en d'émotion qui arrive tout à coup ! Comme un barrage qui vient d'exploser, on voit l'écoulement de tous les sentiments que garde au fond de lui cet homme.

Sur son visage il passe l'amour la haine la rédemption la colère le pardon la résiliation la mort.
C'est sur ce dernier sentiment que l'homme lève les bras de chaque coté de son corps et se laisse tomber.
Cela aurait pu être une Chute rapide et mortel, mais il en fut décidé autrement la chute fut longue, le temps semble s'arrêter, le passer le présent et le futur ce mélange.
Il se voit mort écraser par les rochets ou alors tuer par l'immense océan qu'il se prépare à fondre dessus.
Il revoit sa vie, ces plaisirs et ces peurs, ces bons et ces mauvais moments. Il ferme les yeux, accepte son sort.


" On ma toujours dit d'aller de l'avant, d'avancer, mais moi je marche en arrière pour faire le monde a ma manière"

Au loin un aigle pousse un cris qui déchire la nuit, ce cri vient frapper l'homme au cœur.

Il ouvre les yeux dans sa chute, vrille son corps, il se place complètement a la vertical et ce prépare a l'impact, la tète rentrer dans les épaules. Le bruit fut terrible, l'océan ne bougea pas. L'homme sort de l'eau, pour voir une vague lui fondre dessus.
Il accepte la force supérieure de l'élément, ne rentre pas contre elle, mais rentre en elle, accepte que la vague puis ce le tuer si elle voulait, il ne lui laisse pas vouloir, il devient vague.
Du haut de la montagne, on peut maintenant voir l'homme en train d'escalader, il est trempé et épuisé mais dans son regard quelques choses de nouveau est affiché.
Le cri de l'aigle a réveillé en lui le plus profond des sentiments humains, le plus recherché le moins trouvé.

L'espoir et l'envie de vivre.

Dans les yeux de l'homme brillé une envie de vivre et un espoir qui lui permettra maintenant de franchir des océans et escalader des montagnes. L'homme sourit vraiment, sourit de bonheur devant sa bêtise, devant cette vie qu'il a faillit perdre. Il lève la tète sourit et disparaît dans une rafale de vent.

C'est quand l'horizon se noircit que dans le coeur des hommes naissent les pires horreurs. Les pires cauchemars.
C'est quand le ciel se laisse envahir par la nuit que domine la peur. L'angoisse et la panique.

L'instant où la lune blafarde sortant d'un nuage opaque troue la nuit de sa lueur laiteuse, et éclaire les ombres mouvantes.
La lumière devient alors pire que l'obscurité, tant les recoins semblent dangereux.

Dans un recoin, justement. Un éclat de lune se reflète sur un sourire. Un sourire plein.
Parfait miroir de l'étincelle que renvoi la lame un peu plus bas.
Image percutante des deux étoiles qui brillent dans un regard.

La silhouette épouse la nuit. La lune éclaire ses pas dans la poussière, l'ombre se laisse apprivoiser sur son chemin. Il est déjà loin.
Il bondit souplement dans la nuit et semble caresser la voûte céleste un instant. en équilibre sur un portail, il se laisse chuter de l'autre coté. Sans un bruit. La rafale de vent ne l'a pas déstabilisée. Elle l'a fait s'envoler...

Perchée sur la cheminée, dominant la ville, il admire son monde. Les alizés lui murmurent à l'oreille que sa solitude trouve une compagnie parfaite. Un peu plus loin. Sur un autre toit. Sur des dizaines d'autres toits.
Son sourire s'élargit, il se déplie fluidement et debout au sommet ses rêves, il écarte les bras.
Paume vers le ciel, les mains montent.
Se joignent.
Inspiration
Redescendent vers le centre.
Expiration.
Il est complet.
Il est lui et lui est aussi libre que la nuit est belle.
Un nouveau sourire s'empare de son âme en même temps qu'il étire ses lèvres.
Une chape de brume, tranquille amie aux douces caresses, s'enroule presque tendrement autour de son corps.
Il l'accepte, l'intègre, se fond en elle.
Y demeure un instant.
Puis sur un dernier sourire adressé au croissant de lune, lancé aux étoiles, la brume se délite dans l'air.
Sur la pierre brillent trois petites lignes.
Qui sais, quelqu'un les apercevra peut être.
Surement.
Sourire.


Flammes argentées
Éclat étoilé
Sourire